dimanche 8 février 2015

"Le jour où j'ai appris à vivre" de Laurent Gounelle



Décevant !!!


Convaincue par les commentaires élogieux, tant des critiques de presse que des lecteurs, je me suis lancée dans la lecture du dernier ouvrage de Laurent Gounelle.

J'avais beaucoup aimé "L'homme qui voulait être heureux" et je l'avais conseillé à de nombreuses amies.

C'est donc tout naturellement que ce livre a trouvé sa place dans ma bibliothèque d'autant plus que sa  couverture est très attrayante.

Malheureusement, je n'ai pas éprouvé le même enthousiasme que pour "L'homme qui voulait être heureux". Pire, même ! Je me suis profondément ennuyée à lire cette histoire totalement farfelue et je ne me suis pas du tout attachée à Jonathan, le personnage principal, encore moins aux personnages secondaires :
- son associé, Michael, un requin des finances
- son ex-épouse, une râleuse impénitente
- sa vieille tante Margie, donneuse de leçon
- Gary, son voisin grincheux
et j'en passe...

Je pensais en apprendre davantage sur "les champs morphiques" dont la presse nous rebat les oreilles avec cet ouvrage. Or l'auteur y fait une allusion que de quelques pages (aux environs des pages 90) d'une manière très simpliste.

Pour voir le côté positif des choses, je dirais que je pense que Laurent Gounelle participe à la vulgarisation grand public de sujets importants comme, dans ce livre :
- accepter la mort pour vivre pleinement sa vie.

Sans doute tout le monde n'est pas capable de lire et de comprendre les philosophes, moi la première !

Néanmoins, je trouve que ce livre est bâclé.
La qualité de l'écriture est médiocre (très pénible à lire).
Le récit mêle plusieurs intrigues très banales qui n'apportent rien au sujet.
Les dialogues sonnent creux.

Grosse, grosse déception...